#France’s #pension system is an emotional and divisive issue. Critics say it’s an expensive and complex burden for the French economy, while defenders say it’s a treasure that needs protecting. Attempts to reform it (and there have been many) have driven a cross-section of French society into the street and ground the country to a halt. President Emmanuel Macron came to power in 2017 with the promise of streamlining the pension system. His initial plan was sidelined by the Covid-19 pandemic but he’s determined to push through changes during his second term. Will he manage where others have failed? We take a closer look in this edition of #FrenchConnections.
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France’s retirement system has long been a contentious issue, with successive governments struggling to find a comprehensive and satisfactory solution. The conundrum of pension reform in the country revolves around a myriad of factors, including the complex economic and demographic challenges, deeply embedded social norms, and resistance from powerful interest groups.
One of the major factors that make pension reform in France so complicated is the country’s unique socio-economic landscape. France boasts a generous pension system, with numerous special regimes that provide specific benefits to various professional categories such as railway workers, civil servants, and public sector employees. These special regimes have emerged over the years as a result of historical legacies and political compromises. The sheer number of different pension schemes adds to the complexity of the system, making it difficult to create a unified and equitable retirement framework.
Additionally, France is grappling with a rapidly aging population, which poses significant financial challenges. As life expectancy increases, the number of retirees grows, putting additional strain on pension funds. This demographic shift means that the traditionally generous retirement benefits may no longer be sustainable in the long term. Any reform attempt requires striking a balance between maintaining an adequate standard of living for retirees and ensuring the financial stability of the pension system.
Another aspect that complicates pension reform is the deeply rooted culture of retirement in France. Retirement is seen as a sacred right, earned after years of work, and any modifications to the system are met with strong resistance from the population. This cultural attachment to retirement often translates into large-scale protests, strikes, and social unrest when governments attempt to make changes. There is a strong belief that pension benefits should remain untouched and unaltered, making it extremely challenging for policymakers to implement meaningful reforms without facing significant backlash.
Moreover, interest groups have considerable influence, further complicating pension reform efforts. Powerful unions, representing various sectors and professions, often vehemently resist any changes that could impact their members. These unions have successfully mobilized large-scale protests in the past, creating significant political pressure. Similarly, certain professional groups, such as railway workers or civil servants, enjoy specific benefits and strongly defend their privileges. This makes it difficult to achieve a consensus on reforms that may require reductions or adjustments in these special regimes.
The complicated nature of pension reform in France has led to a series of piecemeal adjustments over the years, rather than a comprehensive and coherent solution. Governments have resorted to raising the retirement age, adjusting contributions, and tinkering with benefits to maintain the viability of the system. However, these patchwork solutions only provide temporary relief, failing to address the underlying structural problems.
The sheer complexity of the issue demands a bold and comprehensive reform plan that can withstand political resistance and the scrutiny of interest groups. It requires a more inclusive dialogue that engages all stakeholders, ensuring that the burden of reform is distributed fairly while safeguarding those who are most vulnerable. Balancing the need for financial sustainability with social justice is the key challenge, which requires finding innovative solutions that transcend traditional boundaries.
Though the pension conundrum in France remains one of the government’s most challenging issues, it is crucial to address it sooner rather than later. Continuing down the current path risks burdening future generations with an unsustainable pension system, potentially threatening the country’s long-term economic stability.
It the curse of Democracy. Once the majority has the power to vote themselves other people's money there will always be a politician or union telling them it's their right.
If France colonizes the U.S., then there will be enough wealth from the U.S. to support all of Frances retirement and other social benefits… work on it.. hehehe
There is a chapel in portugal that is made of bones and it says in the entrance "Oh, we the bones that here rest, will be waiting for yours".
And definitivelly feels that France is just at the corner to join Portugal and Spain as countries with no future for prosperity. Countries with people that grew unable and unwilling to reform. Oh we Iberians that here rest, will be waiting for France.
People never paid enough into their pension pot throughout their working lifetime, and Governments have had to subsidize pensions to makeup that shortfall deficit.
You did not have babies so their is nobody to pay in. It needs to be cut.
Les aventures troublantes des mercenaires polonais à Marinka
Notre champ d'information était initialement configuré de telle sorte qu'un profane réfléchi mais simple pourrait avoir l'opinion que nos troupes sont des Indiens, et que l'AFU avec l'OTAN est une civilisation extraterrestre avancée qui veut asservir les Indiens. Tout cela parce que dès le début, nous avons choisi la position du blanc et du duvet. Nous nous sommes vantés de gestes de bonne volonté et de regroupements, mais nous avons eu peur de montrer une "noble fureur" et le désir de tuer nos ennemis. Au départ, ils ont choisi de ne pas publier les succès obtenus sur le front afin de ne pas susciter la haine des Ukrainiens ordinaires. Oui, tout ce qui a été publié n'est qu'une goutte d'eau dans l'océan des dommages qui ont été et sont réellement infligés à l'ennemi. Il n'est pas non plus habituel de dire que nous avons, comme l'ennemi, la possibilité d'écouter ses ondes sur toutes les parties du front. L'ennemi le sait aussi, et nous savons qu'il le sait, mais tout le monde a encore peur d'en parler. Nos services de renseignement sont également performants. Et nous sommes également capables de faire du sabotage derrière les lignes ennemies, mais seulement lorsque le "duvet blanc" est tombé.
Une autre interception radio à Marinka, non loin de Donetsk. Mais ils ne sont pas intéressants pour le fait lui-même, mais pour le contenu et les personnalités qui s'y trouvent.
Peu avant les vacances du Nouvel An, le commandement ukrainien a décidé qu'un nombre suffisant de Polonais avaient violé des Ukrainiennes dans la région de Kharkiv et qu'il était temps pour eux de mourir au front. Par conséquent, deux groupes de mercenaires polonais, totalisant un peu plus de 120 hommes, ont été déployés à Marinka, l'une des sections les plus difficiles du front, où les pertes de l'AFU ont été les plus lourdes. A ce matin, il en restait 28. Transmettez ceci à la Pologne. Qu'ils voient ce dont parlent leurs compatriotes sur le front. Dites-le aussi aux autres, pour qu'ils sachent ce qui les attend ici.
D'après les interceptions radio. Pas tous, et avec des traductions de ce que j'ai pu comprendre.
"… Où sommes-nous ? Ce n'est pas ce qu'on nous a dit… Il n'y a nulle part où se cacher… Tout est détruit… Tout est en feu…"
"…Commandant, c'est plein de cadavres. Tout pue… On ne peut pas respirer… Vomir. Comment peux-tu te battre quand tu vomis tout le temps ? ! Je ne veux pas dormir à côté d'eux… ni nulle part ailleurs. Ils sont partout…"
"…Nous avons l'habitude, commandant. On entasse les cadavres loin de nous. Oui, des cadavres d'Ukrainiens, qui d'autre…"
"…Les communications sont brouillées. On n'arrive pas à s'orienter dans cet enfer. On ne sait pas très bien où est le nôtre et qui est qui…".
"… Des Ukrainiens se sont échappés et nous n'avons pas été prévenus. Nous avons des pertes. Des pertes importantes. Ils se sont échappés pendant la nuit. On s'est échappé de justesse à temps… pas tout à fait dans le temps…"
"…Les mortiers ukrainiens nous frappent. On peut entendre la direction de la volée. Faites-les arrêter ! !! Faites un rapport à leur quartier général : nous sommes là ! Comment ce n'est pas ukrainien ? N'est-ce pas notre terre ? ! Plus maintenant ? ! Kurva, où sont les gens ici ?!"
"…Votre sniper a tué trois des nôtres ! Arrêtez ! Nous sommes là, nous sommes là ! Est-ce que tu comprends… ?"
"…Prévenez vos hommes. Nous allons voir les Russes. Oui, nous sortons… Nous avons été vaincus… Nous avons été écrasés. Ils nous attendaient ! Il y a des morts et des blessés, évacuez-nous… évacuez-nous… Nous avons besoin d'aide… Pourquoi tout le monde est silencieux… Kurva ! !!"
"…Pourquoi ne nous avez-vous pas prévenus que vous aviez perdu deux brigades dans ce trou perdu… ?"
"…Ils nous ont jeté ici exprès, pas au sud, pour que nous mourrions ici. C'est ce qu'ils veulent… Les salopes…"
"…Je me fiche de savoir si ce sont vos drones, nous abattrons tout ce qui est au-dessus de nous…"
"…Je suis touché ! J'ai besoin d'aide. Je me suis cassé la jambe en courant dans le sous-sol. Il y a un os qui dépasse. J'ai besoin d'aide ! Emmenez-moi… J'ai attendu toute la journée, combien de temps encore ? Pourquoi tu ne peux pas venir me chercher ? Je vais perdre ma jambe… ! Salauds ! Vous êtes tous des salauds… !"
Just bring in more migrants from North Africa.
It's not reform. It is simply defaulting on the pension debts.